Les services de renseignements israeliens ont fait échoué un " méga" attentat du Hezbollah

Dans l'opération " Time Bomb "(bombe à retardement), la police et l'Agence israélienne de sécurité ont arrêté

14 arabes-israéliens  membres d'une cellule terroriste et ont récupéré des armes et des explosifs en contrebande en provenance du Liban

• perturber la cellule avant que les bombes ne soient  rendu à leur manipulateur, déjouer les plans pour mener à bien énorme vague de terrorisme attaques contre des cibles israéliennes.

Israël a déjoué un complot important qui devait effectuer un

"méga-attentat" ou une vague de plusieurs attaques terroristes meurtrières contre des cibles israéliennes, il a été annoncé mercredi. L'Unité des gardes frontières d'Israël La police du district du Nord et le Shin Bet a remporté un succès important en découvrant  des cellules d'arabes-israeliens, des armes de contrebande et des explosifs en provenance du Liban vers Israël.



Sur les 14 suspects, six sont de Ghajar (l'un des suspects a tout juste 17 ans et un autre est lié aux aînés du village), six sont de Nazareth et l'autre de Ramle dans le centre du pays.  

Onze suspects ont été inculpés mercredi par un tribunal de Nazareth sur des accusations d'aide à l'ennemi en temps de guerre, rencontre avec des agents étrangers, possession d'armes, complot pour commettre des crimes, tentative de contrebande de drogues.

 Mercredi, après la levée du secret d'instruction sur l'affaire il a été révélé que la cellule, composée de trois groupes distincts et comprenant 14 personnes qui détenaient 24 bombes de C4 de haute qualité prêtes-à-l'emploi avec des  minuteries additionnelles en contrebande  dans la ville frontière nord de Ghajar, qui chevauche la frontière israélo-libanaise. En plus des dispositifs explosifs de circonstance, les membres de la cellule présumés ont été capturés, suite à une vaste opération de collecte de renseignements, avec en leur possession un pistolet FN MAG machine polyvalente et un fusil M16 volé aux Forces de défense israéliennes.

De Ghajar, les explosifs ont été transférés à Kfar Kana et Nazareth. L'opération avait été baptisée «Time Bomb», (Bombe à retardement) la course contre la montre des services de sécurité pour s'assurer que les explosifs n'ont pas été dispersés à travers le pays. Les cellules ont été exploitées par le Hezbollah: Une cellule fonctionne au Liban et a transféré les explosifs à la cellule basée à Ghajar. La cellule de Ghajar a ensuite travaillé avec la cellule basée à Nazareth. Selon la police, une certaine communication entre les cellules a été faite par le biais de téléphones portables cartes SIM achetées en Jordanie.

un officier de police du district déclaré à Radio Israël mercredi: " Il s'agit d'un des complots contre la sécurité le plus grave et le plus dangereux que nous avons eu ici. les renseignements fournis par l'unité de la police des frontières  Nord a été de très haute qualité,"  

La police a déclaré que le Hezbollah a utilisé un réseau de contrebande de drogue existant d'Arabes israéliens pour apporter les 24 bombes prêtes-à-l'emploi du Liban en Israël. Certains des passeurs n'étaient pas conscients du fait qu'ils transportaient des explosifs, tandis que d'autres le savaient.

Selon le Bureau du porte-parole du district Nord, «Au cours de l'année écoulée, le Hezbollah a été très motivé pour mener des attaques terroristes contre les Israéliens et les Juifs. Le Hezbollah a travaillé pour recueillir des informations et des renseignements pour mener à bien une attaque terroriste importante. Afin d'atteindre leur objectif commun de réaliser attaque très en-vue, une attaque efficace à l'intérieur d'Israël, le Hezbollah a exporté en contrebande de grosses bombes, y compris les systèmes d'exploitation et de minuteries. "

Dans une conférence de presse, un responsable du Shin Bet a déclaré que l'agence a décidé à se joindre à la cellule après que les bombes ont été déplacés de la ville frontalière nord de Ghajar à Nazareth. On ne sait pas qui sont les bénéficiaires finaux des explosifs sont, et il y a la spéculation des experts en sécurité que, depuis les bombes n'ont pas atteint leurs gestionnaires destinés, il y a une forte possibilité qu'une cellule dormante du Hezbollah soit toujours active en Israël. Le Shin Bet a déclaré aux journalistes qu'il a décidé d'agir pour retirer les 20 kilos d'explosifs C4 des rues. Les Fonctionnaires de l'Agence ont déclaré que le Hezbollah utilise des tactiques des organisations criminelles, par l'utilisation des réseaux de contrebande de drogue. L'activité terroriste du Hezbollah,n'est que la partie visible de l'iceberg a indiqué le responsable. Depuis que le Hezbollah a été dissuadé de réchauffer la frontière libanaise avec Israël, il tente de répandre la terreur à l'étranger, comme l'attaque contre des touristes israéliens de Juillet en Bulgarie, et à l'intérieur d'Israël, a dit l'officiel.

Le District nord d'Israël et de la police centrale Unité des enquêtes a reçu un premier "tuyau" sur le modus operandi de la cellule, et a transmis l'information au Shin Bet.

Le commandant de District de la police du Nord  le major-général Roni Atia a déclaré à la suite des arrestations: «La vérité sur la cellule empêché les attaques horribles Dans ces jours, dans lequel la situation de sécurité complexe nous affecte à la maison et à l'étranger, l'opinion publique israélienne a l'occasion de voir de près. le travail méthodique et de collaboration qui se fait par l'ensemble des agences de sécurité israéliennes pour contrecarrer, prévenir et faire appliquer la loi contre ceux qui veulent nous faire du mal à la fois à la maison et à l'étranger. "

Atia a dit que c'était pas la première fois les Arabes israéliens de Nazareth étaient impliqué dans le terrorisme, ajoutant que le village de Ghajar est le point faible d'Israël dans le nord. La majorité des Arabes israéliens n'ont absolument aucun intérêt à collaborer avec le Hezbollah, et les collaborateurs sont une petite minorité, un fonctionnaire du Shin Bet a dit. Le fait que le Hezbollah doit faire usage des réseaux de trafic de drogue est un signe de sa faiblesse, a ajouté le responsable.