Abbas atteint une impasse!

Par Dr Reuven Berko, d'ISRAEL HAYOM

http://www.israpundit.org/archives/63603762#more-63603762

Adapté par Mordeh'aï pour malaassot.com

Les hauts fonctionnaires de l'autorité palestinienne frappent aux portes du monde international et pour leur reconnaissance, malgré le fait que le mouvement unilatéral contre Israël viole les Accords d'Oslo. Maintenant, ils cherchent à amener les dirigeants israéliens et leurs électeurs à des procès internationaux comme "criminels de guerre". Avec leur insistance intentionnelle pour la formation d'un Etat palestinien sur les frontières de 1967, les Palestiniens savent que leur appel est une violation flagrante de la résolution 242 des Nations Unies , qui détaille un retrait israélien de « territoires » mais pas « les territoires ». Le Président de l'AP Mahmoud Abbas et son peuple a également refusé la proposition de l'accord-cadre d'Israël, qui a appelé à reconnaître Israël comme l'Etat juif et la création d'un Etat palestinien démilitarisé, basé sur des lignes de 1967 avec des ajustements de frontières.

La rhétorique palestinienne continue de s'intensifier. Alors que le même ancien dirigeant palestinien Yasser Arafat a été entendu dans des interviews, disant qu'il reconnaît Israël comme l'Etat juif, Abbas refuse de le faire, disant qu'il est responsable de 1 million de Palestiniens vivant en Israël et dans les territoires, « 6 millions » d'autres qui seraient censés y résider selon le cadre palestinien du "droit au retour." Abbas a dit aussi dans son dernier discours aux Nations Unies, qu'il n'est plus disposé à tenir compte des besoins de sécurité d'Israël. Si il obtient la souveraineté des Palestiniens aux Nations Unies, il exigera un contrôle des postes frontière et que les armes de la « résistance » s'écouleront librement.

L'autorité palestinienne est dans une impasse. Sa tentative de fomenter une mini-intifada à Jérusalem et centraliser une question pan-arabe sur la capitale d'Israël n'a pas fonctionné. Il y a des rumeurs que fils Abbas sont vendent rapidement leurs énormes actifs. Pourrait-on dire que les « rats vont fuient le navire en perdition? » Il n'y a rien à envier à Abbas. Le problème palestinien est devenu sans objet et il a depuis longtemps glissé à être une nuisance marginale dans la région. Les imaginaires réfugiés palestiniens, que les pays arabes ont absorbé sont devenus une anecdote historique ridicule, à la lumière des milliers de vrais réfugiés sans toit au-dessus de la tête qui ont échappés aux massacres et aux tragédies dans les Etats arabes.

« La maison » palestine d'Abbas menace aussi de s'effondrer sur lui. Le Hamas appelle à s'opposer à lui ouvertement. Le soutien du Hamas en Judée et Samarie se développe. La bande de Gaza continue à être son propre Émirat islamique séparatiste violent, et malgré les déclarations de guerre et la menace d'un retour au terrorisme ("la résistance"), les dirigeants de l'Organisation de libération palestinienne sait que toute tentative de susciter un nouveau cycle de la violence contre Israël se finira seulement par un échec.

Le monde occidental, rempli de sentiment anti-israélien, envoie des signaux positifs à Abbas et à son peuple, ainsi que le Hamas, qui a été récemment retiré de la liste de l'organisation terroriste en Europe. Mais un regard sur les agissements de l'Europe montre que ce n'est pas réellement de bon augure pour les Palestiniens. La dépendance de l'Occident au pétrole arabe est en baisse. L'écrasement des économies européennes ne sera pas en mesure d'assurer le financement des groupes anti-israéliens corrompus et il est probable que les flux de trésorerie et de la patience pour les agissements d'Abbas diminueront aussi.

Les efforts trompeurs de l'autorité palestinienne contre Israël ont aussi échoué. Presque aucun israélien ne croit en "la paix des braves", et ils sont partagés quels seraient les futurs accords avec les Palestiniens qui causeraient le moins de dégâts: annexion ("intégration") ou autonomie ("hybridation").

Dans des documents, les Palestiniens motivent leur refus historique du partage de la terre avec nous. « Nous sommes la vraie mère qui refuse de scinder son enfant en vie comme dans le jugement de Salomon », disent-ils. Devons-nous rappeler aux Palestiniens qu'ils n'ont jamais eu de bébé ni mort ni en vie en Israël pas plus qu'à Jérusalem. L'utilisation du jugement de Salomon, un roi d'Israël et de Jérusalem, pour justifier leurs revendications fait honte à cette falsification palestinienne et continuera à empêcher leurs tentatives de vol-à-l'arraché d'un État palestinien à l'avenir.

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