Alphonse de Lamartine vint en visite dans la région (terre d’Israël) (Palestine) en 1835. Dans son livre «Souvenirs d’Orient», il écrivit : «A l’extérieur des portes de Jérusalem, nous
n’avons pas rencontré âme qui vive et nous n’avons entendu aucune voix humaine.»
Cette description fut confirmée par l’écrivain américain Mark Twain qui vint en visite en terre d’Israël (Palestine) en 1867. Dans son livre «Les promeneurs incrédules», il écrivit: «On ne
peut trouver les mots pour décrire la désolation qui règne ici. Même l’imagination la plus fructueuse ne pourrait la peupler de vie et d’animation. Nous sommes parvenus à Tabor et nous
n’avons rencontré aucune âme qui vive sur notre chemin».
Chateaubriand, dans son “Itinéraire de Paris à Jérusalem” décrit la terre d’Israël (Palestine) au milieu du XIXème siècle comme un pays désolé aride et presque inhabité.
Le Consul britannique de Palestine rapportait en 1857 que «Cette terre est en majeure partie vide d’habitants. Par conséquent, le recours le plus urgent est de la peupler d’habitants.»
Lorsque les Juifs ont commencé à y revenir surtout à partir de 1880, la relative prospérité qui s’y est développée a attiré des populations arabes des pays avoisinants. Les “Palestiniens”
sont pour l’immense majorité issus de cette immigration commencée à la fin du XIXème siècle et continuée au cours des premières décennies du XXème siècle.
Le chef de l’autorité palestinienne Yasser Arafat, qui s’est proclamé “Chef du peuple palestinien” lui même est né au Caire le 24 août 1929 et y a grandi.
En fait, le recensement officiel réalisé par les pouvoirs ottomans en 1882, affirme qu’il n’y avait alors en terre d’Israël (Palestine) que 141 000 musulmans Arabes et non-Arabes réunis. En
1922, ce chiffre sauta à 650 000 Arabes: une hausse de 450% en 40 ans seulement. En 1938, il atteint plus d’un million (hausse de 800% en 56 ans seulement. La population augmenta
particulièrement dans les régions qui étaient peuplées par les Juifs.
Afin de maintenir, l’effet de ce coefficient essentiel qu’est, leur soi-disant origine sur cette terre les responsables de la propagande arabe durent réécrire l’histoire.
Le nom Palestine, déformation latine de Philistie, a été donné au pays par les Romains après la dernière révolte des Juifs en 135, pour littéralement effacer la Judée de la
carte ; par souci de vengeance, ils ont choisi le nom de l’un des ennemis héréditaires d’Israël dont la Bible parle abondamment.
Il n’y a aucun rapport ethnique entre les Philistins (originaires de la Crète) et les Palestiniens (qui sont des Arabes), mais ils jouent le même rôle.
Donc dans le cas d’espèce, les Palestiniens ne sont pas venus occuper la terre d’Israël pendant l’absence des Juifs, mais au contraire ils y sont venus, parce qu’il y avait du travail et
des débouchés pour le petit commerce et l’artisanat grâce à l’arrivée continue des Juifs.
Et d’ailleurs, ils ne s’appelaient pas Palestiniens : c’étaient tout simplement des Arabes. Jusqu’au milieu des années 60, se réclamant de la Ummah arabe, ils refusaient même le nom de
“Palestiniens” dont on les désignait dans les instances internationales.