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Malaassot - le blog de mordehai              -           ! ברוך הבא

Sécuriser à nouveau Jérusalem

29 Janvier 2017 , Rédigé par mordeh'ai

 
Par Ilana Mercer 
http://www.frontpagemag.com/fpm/265589/make-jerusalem-safe-again-ilana-mercer
Adaptation Mordeh'aï pour malaassot.com reproduction autorisée avec mention de la source et du lien actif
 

Le déplacement de l’ambassade américaine à Jérusalem, comme le président Donald Trump s’est engagé à le faire, c’est plus que symbolique. Ce que devraient faire les chrétiens c’es prier pour célébrer Pâques dans le futur (semaines Saintes) dans l’église du Saint-Sépulcre, située dans la vieille ville de Jérusalem. Avec un tel geste énergique, l’Administration de Trump va affirmer, une fois pour toutes, l’unité de Jérusalem comme la capitale de l’Etat juif.

 

Y a-t-il une raison pour les musulmans vivant en Israël proprement dit — 1,5 millions d'entre eux — de ne pas migrer vers les territoires contigus de l’autorité palestinienne. Ils sont mieux lotis en Israël. Si Jérusalem, Orientale et Occidentale, êtait reconnue officiellement comme capitale d’Israël uniquement, sous le seul contrôle juif; Les lieux saints du christianisme seraient mieux. Les lieux saints du judaïsme seraient plus sûrs. Ainsi que ceux de l’Islam.

 

Jérusalem n’est en aucun cas une implantation pour être marchandée elle est la capitale de l’Etat juif. Le roi David s’en empara 1000 ans avant Jésus Christ. « Période musulmane » de la ville a commencé seulement en l’an 638 de l’ère commune. « Yerushalaim » et pas Al Quds, est le nom de la ville qui était sacrée pour les Juifs pendant près de deux mille ans avant Muhammad. Pas une seule fois Jérusalem n'est mentionnée dans le Coran. Et tandis que Muhammad était censé parti vers les cieux de la mosquée Al Aksa , il n’y avait aucune mosquée à Jérusalem. Le dôme du rocher et la mosquée d’Al Aqsa ont été construits sur le Mont du Temple juif. Les théologiens musulmans ont justifié cette usurpation par la suite en superposant leur propre chronologie — et ce penchant relativement récent pour Jérusalem — sur la sainteté ancienne existante, de la ville pour les Juifs.

 

Essentiellement, cela revient à de l’usurpation d’identité historique.

 

C’est déjà assez que Bethléem — le lieu de sépulture de la matriarche Rachel, lieu de naissance du roi David et de Jésus et du site de l’église de la Nativité, soit contrôlée par les Palestiniens. Mais, comme un plaisantin s’est demandé, «comment les chrétiens réagiraient si les théologiens musulmans susmentionnés avaient choisi de s’approprier l’église du Saint-Sépulcre, de la renommer et de la déclarer propriété musulmane?»

 

Il n’y a rien du jugement de Salomon dans la scission de Jérusalem, qui — il convient de le répéter — était sacrée pour les Juifs depuis près de deux millénaires avant Mahomet et n’existe pas dans le Coran. « La demande musulmane de Jérusalem » note le Dr Daniel Pipes, est politique, pas religieuse ou historique. Par conséquent, c'est également un projet récent. « Lorsque la vieille ville passa sous contrôle israélien, après juin 1967 il mit fin à des siècles d'abandon » explique Pipes. « Les Palestiniens [alors] encore une fois ont fait de Jérusalem la pièce maîtresse de leur programme politique, [quand, en fait] la Mecque est la ville éternelle de l’Islam, l’endroit où les non-musulmans sont strictement interdits. Grosso modo la Mecque est à l’Islam ce que Jérusalem est au judaïsme. »

 

Jérusalem-Est n’a pas été annexée en juin 1967. Au contraire, Jérusalem a été unifiée.

 

Paraphrasant librement la résolution 242 de l’ONU qui exige qu'Israël redonne le plateau du Golan à la Syrie (ce qui équivaut à la restitution des terres aux agresseurs) et permettre aux Palestiniens d’établir une capitale de leur Etat à Jérusalem-est. Pour leurs concessions, cette « initiative de paix » donne droit aux Israéliens « un véto efficace » au Pacte suicidaire national connu sous le nom — droit au retour : l’impératif d’absorber en Israël des millions de Palestiniens autoproclamés « réfugiés ». (Un droit similaire mystique — appelez-le un droit global de retour aux États-Unis pour les citoyens du monde — a été découvert dans la Constitution américaine par les anti-Trump, père Khizr Khan Patriote pakistanais-américain.)

 

Une question rapide : à quoi peut ressembler une terre palestinienne  « inoccupée » ou « libérée » ? Réponse : A la bande de Gaza.

 

Gaza est un précédent suffisamment fort contre la folie de céder du territoire à l’Islam. (À l’exception des Kurdes qui souffrent depuis longtemps, quelle est la nation musulmane qui a récemment honoré ses gains territoriaux ou remporté l’autodétermination ?) Gaza était « rendu » aux Palestiniens, qui ont détruit rapidement les serres que les israéliens avaient construit et plantés à leur place des lance-roquettes Qassam . Au lieu de cela maintenant Gaza est la base des Hamasniks.

 

En fin de compte, l'octroi d’un État à leurs voisins nihilistes a, jusqu'à présent, été assez déplaisant pour les Israéliens.

 

L’histoire et le « potentiel civilisant inégal » (dans la monnaie de James Burnham), nonobstant, qu’en est-il des familles palestiniennes qui ont résidé dans la ville depuis des générations ? Cela doit aborder le libertaire.

 

La question de l’attachement générationnel au lieu et au titre de propriété est simple à résoudre si les intentions sont bonnes. Naturellement, les Palestiniens devraient conserver leurs propriétés. Un droit juif historique et national à la ville de Jérusalem n’éteint pas les droits de propriété des propriétaires arabes individuels acquis au fil des ans. Les musulmans résidant à Jérusalem-est doivent juste apprendre à étendre à leurs voisins Juifs la courtoisie que leurs frères musulmans reçoivent de leurs voisins Juifs, en Israël.

 

En d’autres termes, de permettre aux Juifs de vivre en paix. Ou tout simplement de vivre.

 

Peu de chance.

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