Netanyahu et Churchill
Editorial: Le Premier ministre d'Israël peut rejoindre les rangs des dirigeants qui ont bravé l'opposition interne et externe et la rectitude politique pour faire ce qui est juste.
Par L'ancien député Yaakov Katz
http://www.israelnationalnews.com/Articles/Article.aspx/17213#.VaO-DdIw_Dc
Adaptation Mordeh'aï pour malaassot.com reproduction autorisée avec mention de la source et du lien actif
Si j'étais le Premier ministre d'Israël, je prendrais un exemple sur Sir Winston Churchill, le premier ministre de l'Angleterre vénéré par l'histoire, qui a défendu la fierté de son pays et a lutté courageusement pour le garder libre d'envahisseurs.
Quand on aborde d'autres dirigeants du monde, je voudrais commencer par expliquer notre bible, droit à tous, la terre d'Israël, notre histoire - familière, au monde entier - et le fait géographique que notre point le plus large entre la mer Méditerranée et le Jourdain, notre petit pays n'a seulement que 25 miles de large, et qu'il ne doit pas et ni qu'il n'y a pas de place pour deux Etats dans cette petite région.
J'explique que, dans les zones libérées il y a cinquante ans lors de la guerre des Six Jours, Jérusalem-Est, la Judée, la Samarie et le plateau du Golan, il n'y a que 800,000.Juifs et que moi et mon gouvernement aiderions ce nombre à croître, comme nous le faisons pour le reste des citoyens d'Israël.
Si j'étais le Premier ministre d'Israël, je voudrais dire aux responsables de nos forces armées de mettre un terme aux jets de roches quotidiens qui, accueillent ces six dernières années, les gens qui vont sur les tombes de leurs proches sur le Mont des Oliviers. Je voudrais annoncer que dans les endroits où les Juifs ne peuvent pas marcher sans crainte, je ferais que les Arabes ne seront pas en mesure de continuer à vivre leur vie comme d'habitude. Les Juifs ne se font pas lapidés à New York et à Moscou, ni à Berlin ou à Los Angeles, et dans notre capitale de Jérusalem nous ne laisserons pas ce phénomène laid continuer à se développer. Je voudrais demander un plan qui soitt basé non seulement sur l'augmentation du nombre de policiers, mais qui comprenne à la fois la dissuasion et la punition individuelle et collective. Voilà ce que tout pays qui se respecte ferait. Dans les situations où les tribunaux réclament une nouvelle législation pénale est nécessaire, je veillerais à son adoption.
Si j'étais le Premier ministre, je chargerais le ministre des Transports d'élargir la Route 60, la route nord-sud qui traverse la Judée et la Samarie, de deux à quatre voies pour satisfaire la croissance de la population des centaines de pourcents. Cette route est devenue dangereuse, pour la sécurité et les risques d'accidents de la circulation.
En tant que Premier ministre, je voudrais demander au ministre du Logement de construire de nouvelles villes portant le nom de victimes du terrorisme, un petit réconfort pour leurs familles et qui a prouvé son efficacité dans la prévention d'autres meurtres de Juifs.
Si j'étais le Premier ministre, je voudrais charger le ministre des Finances de baisser la taxe d'achat sur les appartements achetés à des fins d'investissement, à condition que ces appartements soient mis en location pour des montants fixes. Augmenter la taxe d'achat ne fait que hausser juste le prix des appartements. Afin de réduire le prix d'achat des appartements, je voudrais que le gouvernement construise 150.000 appartements immédiatement, payer les constructeurs et les vendre à des acheteurs à des prix préétablis.
Afin de mettre un terme aux incendies allumés par des terroristes, je voudrais annoncer la création d'une unité spéciale pour appréhender les auteurs - et je voudrais les punir sévèrement.
Ce n'est seulement qu'une petite fraction des décisions qui peuvent être faites par un Premier ministre qui respecte sa nation, son pays - et lui-même!