Il s’explique: «Nous avons commencé la lutte bien avant les gauchistes. La crise du logement en Samarie et dans la région de Benyamin est une problématique ancienne. Les baraquements sont exigus et les délais sont longs. Pour nous, ce n’est pas un combat politique, contrairement à eux, dont le seul objectif est de faire tomber le gouvernement. Mais ce n’est pas notre cas. Ce qui nous intéresse, c’est la crise du logement uniquement. »
Il présente la solution telle qu’il la conçoit: «Il faut construire partout en Israël, et tout particulièrement à l’ouest de la Samarie. Il y a déjà des dizaines de milliers de permis de construire. Ici, il n’est pas question de bureaucratie, il suffit à Netanyahou d’apposer sa signature. S’il signe, ça fera baisser la pression également dans la région du centre. L’ouest de la Samarie est très proche de Tel-Aviv, à un quart d’heure de route seulement. Des localités comme Ariel, Nofim, Alfé Menashé et Karné Shomron se situent réellement dans le centre géographique du pays.»
Il affirme qu’il ne craint pas la violence de la gauche. Il a déclaré qu’un rassemblement était prévu pour jeudi soir près du théâtre Habima, et il appelle le public à se connecter à la page Facebook dont le titre est: «La solution: l’ouest de la Samarie. » Il a donné en outre son numéro de portable: 052-311 48 10.
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28/07/2011
Pour Yéhouda Poua, du comité d’action qui recherche des solutions à la crise du logement sur les hauteurs de la Samarie, il ne faut pas abandonner le terrain aux associations de l’extrême-gauche. Il appelle donc le public à reprendre le chemin de la rue Rothschild à Tel-Aviv, malgré les agressions qui ont pris pour cibles des militants affirmant que crise du logement, problème réel et préoccupant pour l’ensemble de la société israélienne, peut être résolue en relançant la construction en Judée-Samarie et en l’amplifiant considérablement en Samarie, ce qui aiderait les habitants du
Goush Dan en quête d’un foyer.