La Guerre des Pacifistes - contre les Juifs

Publié: 18 avril 2012

 Par Giulio Meotti

http://www.israelnationalnews.com/Articles/Article.aspx/11528

Adaptation Mordeh'aï © 2012 pour le blog malaassot.com

Beaucoup de pacifistes sont passés du rouge au vert, mais pour d'autres, détruire Israël semblait un substitut parfait pour combattre l'anticommunisme de l'Ouest.

Le régime nihiliste qu'ils ont servi pendant de nombreuses années avec dévouement s'est effondré, laissant en déconfiture aussi bien leur idéologie que leur politique.

Le dictateur soviétique Joseph Staline fut le père du premier « mouvement pour la paix », qui avait été lancé en 1946, à une époque où l'arsenal atomique soviétique n'était pas encore développé et donc vulnérable à une attaque américaine.

Pablo Picasso, un « compagnon de voyage » du Parti communiste français, a conçu la Colombe de la paix comme l'emblème du mouvement pacifiste. Le poète Paul Eluard, un autre compagnon de voyage, a composé une ode - inspirée par Staline.

Le « mouvement de la paix » n'est pas opposé à toutes les guerres, seulement à ceux qui menaçaient le bloc soviétique. À cette époque - à la fin des années 1940 début des années 1950 - le monde savait  tout sur la terreur sous Staline et de son goulag ainsi que de la montée de ses procès anti-Semites - mais ces faits ont été ignoré par les "pacifistes du jour " dans leur « quête pour la paix ».

De nombreux Israéliens naïfs ont été aussi parmi les admirateurs de Staline, principalement dans le parti Mapam, le précurseur du Meretz d'aujourd'hui, ainsi que parmi des  journalistes et des intellectuels gauchistes.

Dans les années 1930, la Grande-Bretagne avait également son propre « camp de la paix », illustré par ceux qui adhérèrent aux compromissions avec l'Allemagne nazie, Winston Churchill marqué comme « un fauteur de guerre » et un flagorneur d'Hitler et sa bande.

Beaucoup de pacifistes sont passés du rouge au vert, mais pour d'autres, détruire Israël semblait un substitut parfait pour combattre l'anticommunisme de l'Ouest.

Le mouvement de solidarité International a déjà fait les manchettes globales lorsqu'un de ses militants, Rachel Corrie, d'un collège extrêmiste d'Olympia,de Washington, a été tué alors qu'elle tentait de bloquer un bulldozer israélien à Gaza.

L'ISM utilise sa devise « par tous les moyens nécessaires ». Selon Lee Kaplan, qui dirige « Stop ISM », le groupe "a été mis en place par le Groupe d'arabe communiste lié au groupe terroriste du FPLP « allié aux communistes anarchistes... et maintenant avec le Hamas... afin de promouvoir la destruction de l'état d'Israël. Ils font un excellent travail ».

La mythologie de Rachel Corrie présentée comme « une manifestante Pacifique », « une jeune femme qui avait consacré sa vie à la défense non-violente des autres ». Un navire de la flottille de Gaza pris son nom.

Mais Rachel Corrie n'était pas juste une fille occidentale non armée, idéaliste. Corrie a été dans la bande de Gaza pour servir de bouclier humain lors de la campagne de terrorisme arabe. Sa mort a constitué un coup fatal à la politique d'Israël contre les terroristes.

Dans la bande de Gaza, Israël a détruit des maisons cachant des tunnels utilisés comme conduits pour le traffic d' armes, ou les maisons de kamikazes palestiniens responsables d'attentat-suicides contre d' innombrables Juifs . Après la mort de Corrie, cette politique est devenue plus difficile à poursuivre et donc, plus rare.

Pendant la Seconde Intifada, les militants "de paix" ont mené des activités en Judée, Samarie et dans la Bande de Gaza. Ils ont gêné des actions opérationnelles de Tsahal, ils ont servi de boucliers humains, ils se sont placés près de barrages routiers, ils ont fourni à des agents terroristes l'appui moral et logistique.

Un autre symbole du mouvement de « la paix » a été l'israélien Juliano Mer-Khamis, qui a été tué par un terroriste l'an dernier. Mer avait choisi la ville de Jénine pour construire son rêve  de la tolérance. (http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4056123,00.html)

La Mère juive du directeur était une icône du pacifisme, Arna Mer, qui, pendant l'Intifada est allée à Jénine pour créer le "Théâtre des pierres", un groupe expérimental pour les enfants palestiniens, où Mer-Khamis y a également travaillé.  Arna Mer a remporté le  " Prix Nobel Alternatif " décerné chaque année par le Parlement suédois à des militants humanitaires. Elle préférait être appelée « Palestinienne », que Juive ou Israélienne. Elle a été arrêtée plusieurs fois au cours d'émeutes pour protester contre la politique israélienne dans les territoires. Elle a déclaré que « le sionisme est une idéologie raciste ».

Quand Arna Mer-Khamis a commencé son théâtre expérimental, il était composé de six jeunes garçons  Palestiniens. cinq d'entre eux sont morts depuis comme kamikazes (bombes humaines). 

Comme ces britaniques  pro-allemand  et ces dupes pro-Soviétique, les nouvelles âmes-sensibles-prétendantes-du-pacifisme sont des fascistes qui détestent tout simplement Israël. C'est la paix au travers de l'antisémitisme.

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L'écrivain, est un journaliste italien "d'Il Foglio", il écrit une chronique hebdomadaire pour Arutz Sheva. Il est l'auteur du livre « Une nouvelle Shoah ».

Les anarchistes du Mouvement International de Solidarité, ne sont pas ce qu'ils essaient de nous faire croire. (Voir l'attaque sur le Lt.Col. Eisner.)Il est difficile de ne pas sympathiser avec des militants de la « paix »: la fin de la guerre froide les a relégué aux rangs de désoeuvrés.