Quand des hommes s’attaquent volontairement et délibérément à des civils mais plus particulièrement à des enfants, on ne parle pas de guerre, encore moins de Résistance. On évoque la BARBARIE !
Comparer les « actions israéliennes » et les entreprises meurtrières palestiniennes n’est pas qu’un abus de langage, c’est un aveu de complicité qui permet de prendre la mesure de la moralité atrophiée au plus haut niveau des Etats.
Quand, où et comment s’est déroulée, à l’initiative d’Israël, une action similaire à la boucherie de Toulouse ?
Quand, où et comment les Israéliens ont-ils déposé à Jéricho, Naplouse ou Gaza une bombe à retardement ?
Quand, où et comment, Israël a-t-il envoyé un commando avec une école ou un super marché pour objectifs ?
Quand, où et comment, les Israéliens ont-ils festoyé après une action militaire de Tsahal ?
En ne réagissant pas, les Nations rejettent non seulement le devoir de conscience, mais aussi le fondement biblique de l’Occident. Car, si c’est Israël qui est en charge de la Loi de Moïse et de la morale qui s’y agrège, seul le peuple juif est habilité à désigner ses frères dans l’ordre de l’esprit.
Et bien, osons dire qu’aujourd’hui, Israël est fils unique !
Rappelons nous le mot fameux de la grande Golda Meir recevant Sadate à Jérusalem : « Nous pouvons vous pardonner, Monsieur le Président, d’assassiner nos fils mais nous ne vous pardonnerons jamais d’avoir fait de nos fils des assassins ! »
Israël livre une bataille anachronique qui met à rude épreuve sa conscience. Ses adversaires sont formés à l’école des hordes sauvages, confirmant par le meurtre délibéré d’enfants, qu’ils ont préféré aux charges et devoirs de la condition humaine, les aboiements, les hurlements ou les rugissements.
Que les politiciens mais surtout les Chefs d’Etat et de gouvernement ne soient plus en mesure de « parler vrai » est indigne. Le Vatican se tait : il faut défendre la Chrétienté des pays arabes. Cela n’empêche pas les Chrétiens de Syrie d’appeler Israël au secours. Ils ont bien compris d’où pourrait venir aide et assistance.
Mais le « fin du fin » reste le silence de la classe politique française, toutes tendances confondues, qui accepte et légitime que l’assassinat de civils, d’enfants en l’occurrence, soit comparé aux actions de la Résistance Française, qui jamais ne fit exception au principe que seul le nazi en uniforme était l’objectif.
L’Europe dissimule sa honte par la démagogie pour ne plus entendre les râles de la liberté qui se meurt.
Israël cherche ses frères. La rumeur chuchote, avec des accents de complicité, que ceux-ci lui ont préféré la…vanité !
Oui, vraiment, pour l’Europe, la Bible n’est plus qu’un « succès de librairie ! »