Gematria Baraq Hussein Obama = Ismaélites = Dix Plaies = 501
Vendredi 26 mars 2010
Source : http://geopolitiquebiblique.over-blog.fr/
501 = ברק חוסיין אובאמה = ישמעאלים = דצך עדש באחב
Chaque jour se lève un Amalék, plus ou moins habile, plus ou moins déterminé à nuire à Israël. Il arrive que le soir, il se couche et ne se relève plus, ou, qu’à son réveil, ses
pulsions haineuses se soient atténuées; mais à chaque époque, surgit un Amalék, dont la puissance de nuisance est considérable.
Notre époque a clairement trouvé le sien, il s’agit d’Obama. Voilà un Monsieur né dans l’Islam, et qui va, pendant sa vie d’adulte fréquenter la paroisse de Jeremiah
Wright. Obama a rencontré ce pasteur avant de rentrer à Harvard. Le pasteur l’a marié, a baptisé ses filles, lui a soufflé le titre de son bouquin " The Audacity of Hope"," l’Audace
d’espérer ", et même, prétendent certains qui les connaissent bien, son style et son verbe. Wright, bien que Baptiste, entretient des liens étroits avec « Nation of Islam » et célèbre
Farakhan comme " la parfaite illustration de la splendeur " et " l’un des géants de l’expérience religieuse des Afro-Américains ". Il voue par ailleurs une vénération sans borne
à Malcom X. Wright est un antisémite patenté et vomit l’Amérique blanche. " Que Dieu maudisse l’Amérique" No, no, no, God damn America, that’s in the Bible for killing innocent
people, God damn America for treating our citizens as less than human. God damn America for as long as she acts like she is God and she is supreme. " Pour ce qui est d’Israël, il a inventé une
expression lapidaires: "Israël est un mot sale", "a dirty word". revient comme un leitmotiv dans ses prêches."
" God Bless America! " C’est dans cet environnement tonique, fait d’Islamistes fanatiques et de Baptistes antisémites, qui vomissent Israël et les Américains blancs, que se meut Obama
depuis plus de vingt ans, et, c’est ce Monsieur, hissé notamment grâce aux voix des Juifs américains, aveugles et sourds, genre J Street, qu’il débarque à la Maison Blanche. La dernière visite de
Netanyahou à Washington a permis de sceller définitivement les relations entre Obama et Israël, et que l’on ne me dise pas, que si Tsipi Livni et Kadima venaient à rentrer au Gouvernement, cela
changerait quoi que ce soit. Je ne suis pas un inconditionnel des Gematriot et ne m’y livre qu’en dernière extrémité, lorsque j’ai épuisé les analyses rationnelles. Il me semble que le moment est
venu d’y avoir recours, pour montrer ce qu’est Obama, et le mal qu’il a, et va, causer à Israël. J’ai fait – attentivement – le calcul de la valeur numérique de " Baraq Hussein Obama "
(soit 15 lettres), en hébreu; elle équivaut à 501. Vérifiez par vous mêmes si vous avez un doute, et j’ai trouvé deux équivalences en hébreu. Bien entendu, il y en a d’autres; alors, au
boulot.
La première se réfère à la vente de Joseph par ses frères à une caravanes composée d’Ismaélites, Ishmaélim.
Dans le texte biblique, on se réfère aux descendants d’Ismaël, fils d’Abraham et d’Agar, mais en langage moderne, il s’agit bien de tous ceux qui se réclament de l’Islam, qu’ils soient Sunnites
ou Chiites ou autres.
Ishmaélim, valeur 501.
Une autre équivalence, moins évidente à trouver et plus surprenante que la précédente, qui en définitive ne nous apprend pas grand chose, se trouve dans la Haggadah de Pessah. Quand on cite les
Dix plaies que Hachém a apporté sur les Egyptiens, Rabbi Yéhouda donne un abrégé mnémotechnique, qui, en français, donne à peu près cela DeTSaKH AdaCH BeA’HaB. Il est destiné à
nous permettre de remémorer plus facilement l’ordre des Plaies.
Chaque lettre en hébreu est la première lettre de la plaie. Ainsi le " D " renvoie sur Dam ou sang, TS sur Tsfardéa ou grenouilles, etc…
la somme de ces 10 lettres a la valeur numérique, vous l’avez deviné , de 501.
Sans doute pour attirer notre attention sur Baraq Hussein Obama, qui est une plaie, à lui tout seul, à la puissance 10. Ou alors, pour nous, ou, lui dire, qu’il devrait se méfier, parce que s’il
continue à tourmenter ainsi Israël, Dix plaies bien gratinée l’attendent au tournant. J’ai écrit à dessein Baraq avec un " Q " à la fin, bien que les conventions
linguistiques veulent qu’il s’écrive Barack. Obama, l’Ismaélite doit s’écrire selon les conventions linguistiques arabes: Baraqa, Buraq ( la jument qui emporta
Mahomet au ciel, rendre visite à l’ange Gabriel), la Burqa, prochainement interdite en France, ne s’écrivent pas, il me semble, avec « ck » à la fin; il n’y aucune raison de faire
exception pour le sieur Obama.