La Judée-Samarie, région historique de la Nation Juive, est occupé par les Arabes depuis quelques décennies. Avant la présence des auto-proclamés Palestiniens, peuple qui n’existait pas avant 1967, la Jordanie était en charge de la région. Puis avant encore les Britannique ou encore les Ottomans. Jamais un État Palestinien n’a existé sur cette terre qui a vu passer la plupart des grandes personnalités juives de la bible. On y trouve encore par exemple les tombeaux de nombreuses personnalités historiques juives.
La région a été annexée par la Jordanie après la guerre de 1948, mais conquise par Israël en 1967 lors de Guerre des Six Jours. Environ 1,2 millions d’habitants sont aujourd’hui des Arabes et 520.000 sont juifs.
Le vice-président de la Knesset Danny Danon a rédigé le projet de loi d’annexion. Il s’explique : « Si l’Autorité palestinienne souhaite procéder dans cette voie téméraire créant toujours plus d’instabilité dans la région, Israël ne peut continuer à verser des fonds dans ce bateau qui coule comme un échec ».
« Les accords de financement avec l’Autorité palestinienne ont été conclus avec l’espoir que leurs dirigeants travailleraient à créer un environnement de paix durable et sécuritaire avec Israël. Étant donné qu’il est clair que les Palestiniens n’ont pas un tel désir, Israël ne se doit plus d’être tenu à ces dispositions. » Il explique aussi que les accords d’Oslo interdisait l’unilatéralisme, donc la proposition palestinienne. Mais ces derniers ont déchiré ces accords historiques dans le but de mieux faire la guerre à Israël.
Le projet de loi a été soumis en coordination avec une initiative lancée au Congrès américain, proposée par le républicain Joe Walsh, qui appelle à soutenir les droits d’Israël d’annexer la Judée et la Samarie.
Pendant ce temps, Zeev Elkin, le président du Likoud, Avraham Michaeli du Shas, Ouri Orbach du parti Habayit Hayehudi et Yaakov Katz d’Union Nationale demandent au Premier Ministre Benjamin Netanyahu d’annexer les zones où les Juifs sont installés dans ces régions, et d’y augmenter les constructions.
La lettre appelle également à des sanctions supplémentaires contre les Palestiniens et à ne pas permettre aux pays qui soutiennent la création unilatérale d’un État Palestinien d’être associé à de futurs négociations de paix.