GAZA !!! Seul le Hamas est responsable de la guerre.
Israël n’a tué aucun civil dans la Bande de Gaza. Plus d’une centaine de civils ont péri et les bombes ou les
obus israéliens ont peut-être causé leur mort mais ce n’est pas Israël qui les a tués. C’est le Hamas. Il est temps d’en finir avec les mensonges. Les mensonges du Hamas. Ceux des
Nations Unies. Et ceux des médias du monde qui hurlent « sauvez les terroristes ! ». Il n’y a aucune équivalence morale entre les terroristes du Hamas et les soldats
israéliens. Il faut choisir entre blanc ou noir : il n’y a pas de gris. Toute négociation est inutile. Le Hamas est une machine à tuer les Juifs. Sa vocation est de détruire
Israël. Sur quoi pourraient porter des négociations ? Quand le Hamas ne peut pas tuer de Juifs, il se rabat volontiers sur les civils palestiniens qu’il met au milieu des tirs,
vieillards, femmes et enfants.
Le Hamas envoie ces innocents dans de soi-disant abris, puis, guide la frappe israélienne sur eux. Ça fait plaisir aux médias en manque de gros
titres. Le Hamas ne se bat pas avec des objectifs politiques en tête. Un « traité de paix » ne serait qu’un instrument dans leurs mains. Leur but ultime est la destruction
totale d’Israël, au nom d’un dieu terroriste. A l’abri dans des bunkers enfouis, ou à Damas, les dirigeants palestiniens sont prêts à voir mourir un nombre illimité de leurs civils, ou même de
terroristes de base. Les vies ne sont pour eux qu’un instrument en vue d’une fin. Et les cadavres d’enfants sont le carburant de la propagande. Tout ce que le Hamas
devait faire pour qu’Israël ne lance pas une attaque de légitime défense était de ne pas lancer de roquettes sur Israël. Tout ce que le Hamas doit faire pour arrêter le conflit et épargner la
population palestinienne, qu’il est censé représenter, est d’arrêter de tuer des Israéliens et de laisser Israël vivre en paix.
Ni l’une ni l’autre solution n’intéressent le Hamas. Aujourd’hui, Israël doit continuer son attaque, causer le plus de dégâts possibles au Hamas avant
qu’un nouveau président américain n’intervienne. Si Israël s’arrête maintenant, le Hamas pourra crier victoire juste parce qu’il a survécu, malgré ses pertes massives. Même s’il est impossible
d’éliminer radicalement l’extrémisme, le seul espoir d’aboutir à une paix, même temporaire, même imparfaite, est de tuer chaque dirigeant terroriste enfoui dans son bunker de Gaza. Cette
occasion ne se représentera peut-être jamais. Et qu’on ne s’inquiète pas de créer un « vide du pouvoir » ! C’est aux Palestiniens de s’en débrouiller. Même l’anarchie
vaut mieux pour Israël que le Hamas.
Dans leur grande majorité, les Israéliens, les Américains et les Occidentaux partagent un aveuglement commun : nous restons tragiquement
prisonniers d’un modèle de terrorisme dépassé, celui de l’OLP d’Arafat, de l’IRA, des Brigades Rouges ou du Weather Underground. Mais malgré toute leur violence, ces organisations ne se
pensaient pas envoyées par Dieu. Les terroristes d’hier voulaient changer le monde. Ils étaient prêts à verser le sang pour leur cause et, dans des cas extrêmes, le leur aussi. Mais
ils ne cherchaient pas la mort en soi. Ils préféraient vivre afin de voir ce que serait le monde meilleur auquel ils aspiraient. Notre civilisation doit faire face aujourd’hui à des
terroristes pour lesquels la mort est une promotion de carrière. Ils croient que tout acte au service de leur dieu est excusable.
Et le cœur de leur croyance est que vous et moi, mécréants têtus que nous sommes, méritons la mort. Leur effroyable dieu ne connaît pas de compromis.
Le moindre atermoiement vaut trahison, tant leur dieu leur fait confiance. Et pourtant nous croyons (et même certains Israéliens le croient) qu’il est possible de passer des accords avec
eux. Dans sa recherche de paix, Israël a remis Gaza aux Palestiniens, un peuple qui n’avait jamais eu d’Etat à lui. En remerciement, Israël a reçu les roquettes de la terreur. Et les
Palestiniens ont eu droit à la guerre de gangs. La paix est la dernière des choses que les terroristes et les gangsters du Hamas puissent vouloir. La paix, c’est la fin de leur petit
jeu. La paix, cela veut dire qu’ils ont déçu leur dieu. La paix, c’est la fin des prétextes pour faire la guerre. La paix ? Ils ne supporteraient pas ça six
mois !
Cette guerre ira jusqu’au bout. Et nous avons peur d’admettre le sens de cette guerre. Tout ce qui se passe n’a rien à voir avec les péchés de l’Amérique ou l’intransigeance israélienne.Le problème est le mal dont souffre
une civilisation, celle de l’islam moyen-oriental, et qui ne peut se soigner que de l’intérieur. Tant que les Arabes et les Iraniens n’auront pas décidé de
se soigner, il nous faudra nous battre. Au lieu de cela, nous
voulons parlementer. lire la suite sur le site de la pensée
néoconservatrice
La population de Gaza ne porte peut-être pas les Israéliens dans son cœur mais elle regrette certainement le jour où elle a choisi un bulletin de vote en
faveur du Hamas. Car c’est le Hamas qui l’assassine.
Ralph Peters © The New York Post
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