John Kerry dit au Président palestinien d'ignorer Trump," il ne sera bientôt plus au bureau oval "

John Kerry dit au Président palestinien d'ignorer Trump," il ne sera bientôt plus au bureau oval " 

Par Jeff Dunetz 

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Adaptation Mordeh'aï pour malaassot.comreproduction autorisée avec mention de la source et du lien actif

Maintenant qu'il n'est plus en charge, le secrétaire d'État d'Obama, John Kerry, poursuit ses efforts anti-israéliens, tout en violant peut-être la loi Logan en même temps. 

"La  loi Logan  (1 Statue 613, 18 USC § 953, promulguée le 30 janvier 1799) est une loi fédérale des États-Unis qui criminalise la négociation par des personnes non autorisées avec des gouvernements étrangers ayant un différend avec les États-Unis."

Le journal israélien Ma'ariv rapporte que l'ancien secrétaire d'Etat, John Kerry, a envoyé un message au président de l'Autorité palestinienne, Abbas, "qu'il devrait rester fort dans son esprit et jouer contre le temps, qu'il ne céde pas aux demandes du président Trump", parce que Trump sera bientôt absent du bureau peut-être dans l'année.

Ma'ariv a appris que l'ancien secrétaire d'Etat américain John Kerry a rencontré à Londres un proche collaborateur d'Abbas, Hussein Agha, pour une longue et ouverte conversation qui a fait couler beaucoup d'encre. Agha a apparemment rapporté les détails aux hauts fonctionnaires de l'Autorité Palestinienne à Ramallah. Un haut responsable palestinien a confirmé à Ma'ariv cette semaine qu'il y avait eu effectivement une telle réunion.

Agha est l'un des associés les plus proches d'Abbas et un vétéran des négociations de paix avec Israël. "Il a conduit le" London Track ", des négociations secrètes tenues de 2010 à 2013 entre les émissaires de Netanyahou, l'avocat Yitzhak Molcho, et le brigadier général Mike Herzog, sous la supervision et la présence de Dennis Ross. Agha a également écrit avec Yossi Beilin l'accord Beilin-Abbas dans les années 1990. "M. Agha est un fervent partisan du processus de paix, et très proche d'Abbas.

Selon le reportage, John Kerry a demandé à Agha de transmettre un message à Abbas: "Demandez-lui" de tenir bon et d'être fort. "Dites-lui, a-t-il dit à Agha, qu'il reste fort dans son esprit et joue le temps.Ne pas rompre et ne pas céder aux exigences du président Trump. Selon Kerry, Trump ne restera pas longtemps au pouvoir. Il y a une bonne chance que dans un an, il ne sera plus à la Maison Blanche. "

Kerry a offert son aide aux Palestiniens dans le but de faire avancer le processus de paix et a recommandé qu'Abbas de présenter son propre plan de paix. "Il est peut-être temps pour les Palestiniens de définir leurs principes de paix et de présenter un plan positif", a suggéré Kerry. Il a promis d'utiliser tous ses contacts et toutes ses capacités pour obtenir un soutien pour un tel plan. Il a demandé à Abbas, par l'intermédiaire d'Agha, de ne pas attaquer les États-Unis ou l'administration Trump, mais de se concentrer sur les attaques personnelles contre Trump lui-même, dont Kerry dit qu'il est seul et directement responsable de la situation.

Ma'ariv a également décrit le président en utilisant des termes péjoratifs et a offert d'aider à créer une autre initiative de paix sans les Américains et de l'aider à obtenir le soutien international des Européens, des Arabes et d'autres membres de la communauté internationale.

Kerry a laissé entendre que beaucoup dans l'establishment américain, ainsi que dans le renseignement américain, sont mécontents de la performance de Trump et de la façon dont il dirige l'Amérique. Il a surpris son interlocuteur en disant qu'il envisageait sérieusement de se présenter à la présidence en 2020. Interrogé sur son âge avancé, il a dit qu'il n'était pas beaucoup plus âgé que Trump et qu'il n'aurait aucun problème d'âge (...) même dans le Parti républicain on est très insatisfait de Trump et ils ont besoin de patience et de temps pour passer à travers cette période difficile.

Je ne suis pas avocat et je n'en joue pas non plus à la télévision, mais les actions de Kerry ressemblent à une violation de la loi Logan: