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Malaassot - le blog de mordehai              -           ! ברוך הבא

Blanchiment du terrorisme islamique de Sydney à Jérusalem

5 Janvier 2015 , Rédigé par mordeh'ai

Par Charles Bybelezer

http://www.frontpagemag.com/2015/Charles-bybelezer/Whitewashing-Islamic-Terrorism-from-Sydney-to-Jerusalem/

Adapté par Mordeh'aï pour malaassot.com

 

Trois jours avant Noël, pendant les vacances un client peu méfiant a été tué et neuf autres blessés lorsqu'une camionnette a foncé dans un "marché de Noël" bondé à Nantes, situé dans l'ouest de la France. L'attaque a eu lieu un jour après qu'un homme, criant « Allah Akbar », a foncé avec sa voiture dans la foule dans la ville orientale de Dijon, blessant treize personnes; cela, quelques vingt-quatre heures après qu'un agresseur ait poignardé et blessé trois policiers à joué-les-Tours, Centre de la France, en criant aussi « Dieu est le plus grand »(Allah Akbar) en arabe.

 

Un jour après l'attaque de Dijon, dont l'auteur l'avait dédié aux enfants de "Palestine", le ministre français de l'intérieur, Bernard Cazeneuve, a appelé la population " de ne pas tirer de conclusions hâtives avant que...motifs [le conducteur] n'aient été établis." Néanmoins et malgré le fait que « l'enquête avait à peine commencé, » Le Procureur général de Dijon, Marie-Christine Tarrare, a clairement indiqué que « l'incident n'était  pas du tout un acte terroriste.»

 

Il a fallu la troisième attaque avant que le premier ministre Français Manuel Valls ne convienne de la réalité, et l'accepte en concédant que, « il existe, comme vous le savez, une menace terroriste en France. »

 

Laissant de côté les incidents pratiquement inédits cette semaine même: de la fusillade en à Paris, ciblant la Synagogue David Ben Ichay, le restaurant casher de Al Haeche et une maison d'édition appartenant à des Juifs, seulement une cécité délibérée, kafkaïenne, pourrait suggérer que les citoyens qui se trouvaient dans les rues ne couraient qu'une simple menace de terrorisme plutôt qu'un problème terroriste de premier ordre.

La cerise sur le gâteau a été prononcé par un officiel Français qu'aucun lien n'avait été trouvé entre tous ces événements.

 

Pour commencer, que diriez-vous de l'Islam?!

 

À travers le monde, les résidents de Sydney étaient encore sous le choc du siège surréaliste d' un café, qui a causé la mort de deux civils. Durant l'affrontement de 16 heures, le premier ministre australien Tony Abbott s'est adressé à la nation, en affirmant, « on ne pas encore connaître la motivation du preneur d'otage.»

 

À ce moment-là, cependant, il était évident que l'individu qui sera plus tard désigné comme Haron Monis, un homme réfugié iranien et Cheikh autoproclamé, qui a agi par conviction religieuse; un drapeau noir avec une écriture blanche bien lisible en arabe, il détenait par la force des otages dans le restaurant.

À la suite de l'épreuve, une fois que l'étendue de l'extrémisme des Monis devienne publique, Abbott avait ceci à dire: « ces événements démontrent que même un pays aussi libre, aussi ouvert, aussi généreux et aussi sûr que le nôtre est vulnérable à des actes de violence à motivation politique. »

 

Politiquement motivé...? Que diriez-vous de religieusement inspiré? !

 

Comment se fait-il, que bureaucratie australienne réfléchie, que quelqu'un avec une histoire longue et mouvementée, n'a pas été sous surveillance? La réponse est que Abbott a qualifié Monis " de malade, et de personne dérangée " , généralement n'apparaît pas sur les listes de surveillance terroriste, alors que les islamistes radicaux eux le pourraient.

 

Monis est tombé à travers les mailles du filet parce que la menace a été incorrectement réfléchie. Alors que les autorités (et une grande partie des médias) ont été prompts à le décrire comme un « loup solitaire », le fait est qu'il y a eu plusieurs événements dans toute l'Australie depuis quelques mois pointant sur un vaste réseau de collaborateurs terroristes.

 

Le 23 septembre, Numan Haider a été abattu et tué devant un commissariat de police après avoir poignardé deux policiers dans l'Etat de Victoria. Il a été trouvé portant un drapeau de l'État islamique.

 

Tout au long de septembre, en fait, la police australienne a mené de grands raids antiterroristes à Brisbane, Melbourne et Sydney. Au moins quinze personnes ont été arrêté, y compris Omarjan Azari — prétendu associé de Mohammed Ali Baryalei, chef de l'Etat islamique en Australie — qui avait l'intention de décapiter un civil au hasard en plein jour. Quelques jours à peine après l'attaque de Monis, les autorités australiennes ont arrêté deux hommes, y compris Sulayman Khalid, trouvé en possession de documents visant à faciliter le terrorisme.

 

Monis n'était donc pas un acte aléatoire, mais plutôt une partie d'un plus grand modèle du fanatisme islamique en Australie.

 

Alors que le refus du terrorisme islamique a de longues racines, il parvint le 5 novembre 2009 à un tournant post-9/11. Ce jour-là, treize personnes ont été massacré par Nidal Malik Hasan dans une base militaire à Ford Hood, au Texas.

 

Un auto-proclamé "soldat d'Allah," Hasan avait communiqué avec al-Qaïda chef Anwar al-Awlaki. Il a crié « Allahu Akbar » tout en abattant des dizaines de personnes. Néanmoins, la Maison Blanche a fait des heures supplémentaires pour donner une explication que la mise à mort de dizaine de personnes n'était qu'un « accident du travail. » Dans sa réponse initiale à la nation, le Président américain Barack Obama a déclaré: « nous ne pouvons pleinement savoir ce qui pousse un homme à faire une telle chose. »

 

Certainement pas l'Islam!

 

Cinq ans plus tard, les familles des victimes de Hasan se battent encore pour des prestations liées au combat, qui seraient autres si leurs proches avaient été reconnu tués dans une « attaque terroriste » classée. En revanche, Hasan resta rétribué par l'armée jusqu'à sa condamnation en mi-2013, et gagna quelques $ 300 000 en attendant.

 

Sous Obama, les références au terrorisme islamiste ont été purgé du lexique et des documents d'application de la Loi. Il est, après tout, l'homme qui a courtisé les Frères Musulmans, qui font parti des groupes américains avancés, ils ont été désignés comme organisations terroristes imaginez-vous, récemment par les États du Golfe et l'Egypte. Obama est le chrétien qui a joué au golf le 25 décembre avec le leader islamiste de la Malaisie, et qui partage un lien spécial de confiance avec le dictateur islamiste en place en Turquie, un Etat-sponsor du Hamas.

 

Sa sensibilisation aux mollahs de Téhéran confirme qu'il est pour une égalité des chances (sunnite et chiite) d'embrasser des musulmans radicaux.

 

Les actions de Obama ont donné le ton pour le blanchiment actuel du terrorisme islamique dans la plupart de l'occident ; Heureusement, cependant, au nord de la frontière au Canada il y a un leader lucide pour offrir un contre-exemple, celui qui doit être suivi.

 

Le 20 octobre, Martin Couture-Rouleau, un musulman converti et partisan de l'Etat islamique, a percuté avec sa voiture deux soldats canadiens, tuant l'un, juste au nord de Montréal. Immédiatement après, le premier ministre Stephen Harper a défini l'incident comme un attentat terroriste.

Deux jours plus tard, un autre soldat a été tué lorsque Michael Zehaf-Bibeau, un converti à l'Islam qui professait ouvertement son admiration pour les djihadistes, qui ont attaqué le Parlement à Ottawa.

 

« Je dis depuis longtemps, que nous vivons dans un monde dangereux, » Harper a affirmé, aux législateurs, le lendemain matin. « Le terrorisme est ici avec nous depuis un certain temps... J'attire votre attention sur des incidents tels que le complot terroriste de Toronto en 2006, le projet d'attentat de Via Rail en 2013, et je pourrais pointer vers un certain nombre d'autres que pour la plupart nous ne saurons jamais rien. »

 

Harper non seulement a qualifié les deux attaques d'octobre de terrorisme, mais aussi les a correctement contextualisés comme les derniers d'une longue série de complots islamiques.

 

Seulement de définir correctement un problème on peut commencer à lutter efficacement contre lui: Un musulman qui exécute plus d'une douzaine de personnes, en criant « Allahu Akbar » n'est pas simplement « mentalement instable »; c'est un terroriste.

 

Le refus délirant de l'Occident d'accepter ce fait a contribué à la transformation de vastes portions de Paris, de Sydney et autres centres urbains en de petits Baghdads. Et à moins que la confusion qui règne chez les musulmans rende encore plus « confuse » de tuer des gens ne cesse, beaucoup de pays occidentaux peuvent s'attendre à plus de cadavres allongés dans leurs rues à l'avenir.

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