Les Médias justifient l'attaque de la Synagogue
Par Leo Rennert
http://www.americanthinker.com/blog/2014/11/media_justify_synagogue_attack.html
Adapté pour malaassot.com
Lorsque les nouvelles ont notifié que des terroristes palestiniens ont entrepris une série de meurtres dans une synagogue de Jérusalem, tuant quatre rabbins, le Secrétaire d'État John Kerry a déclaré que les victimes " avaient été, enlevés et assassinés à coups de hache dans ce lieu saint dans un acte de pure terreur.» ("Netanyahu accuse les dirigeants palestiniens d'incitation à la violence" Washington post , page A10).
Et en effet, Kerry avait raison. C'était une " terreur absolue." Mais cela n'a pas empêché les suspects anti-israéliens habituels de trouver toutes sortes d'excuses, des rationalisations et des justifications pour cette tuerie horriblement sanglante. Dans leur couverture journalistique, ils étaient déterminés à rendre Israël au moins en partie responsable du sang versé dans la ville sainte.
Jodi Rudoren, le chef du bureau du New York Times à Jérusalem , elle a catégoriquement dit à ses lecteurs que le "vandalisme contre les mosquées par des juifs était un événement régulier." Peu importe que ce soit un énorme bond loin de la réalité; Rudoren avait l'intention de lier Israël à la co-responsabilité du carnage. («Analyse Nouvelles - la «Guerre des Voisins» d'une ville où les différences ne sont pas négociables »à la page A8)
Rudoren également a mis en témoignage Ghassan Khatib, vice-président de l'Université de Birzeit, en Cisjordanie, pour dire au monde que « Israël est à accuser plus que le côté palestinien dans cette situation particulière,» qu'avec pour tous "de la pauvreté, du chômage, de la dépendance et de nombreux" que j'on retrouve à Jérusalem-Est. Dans le cas où vous avez du mal à faire une telle connexion avec l'assassinat de quatre rabbins, Khatib a tenu à déclarer que « pour donner un exemple frappant - 40% des étudiants palestiniens à Jérusalem abandonnent les études en secondaire.
En ce qui concerne Rudoren, elle n'adhère pas à la formulation de Kerry que ce fut un "horrible" acte de terrorisme qui s'est passé dans une synagogue opéré par des tueurs palestiniens
Outre lier Israël à une bonne dose de culpabilité, elle va aussi avec beaucoup de mal absoudre le dirigeant palestinien Mahmoud Abbas de toute culpabilité.
Elle écrit que "Le journal israélien Haaretz a cité Yoram Cohen, le chef de l'agence de sécurité intérieure Shin Bet, disant qu'Abbas n'a pas incité les attaques terroristes". Peu importe si Abbas a mené une campagne de provocation vicieuse, fomentant la violence palestinienne sur le Mont du Temple de Jérusalem, lieu saint du judaïsme.
Que ce soit le Times ou le Post, les deux journaux insistent pour que le massacre de la synagogue n'est que le dernier épisode d'un «cycle de la violence» Leur mantra est que si l'on veut tout blâmer, il faut le faire à part égale pour les deux parties.
Témoin par exemple le Times en avant de l'article de la page, (écrit " Israël secoué par 5 Décès suite à l'assaut de la synagogue "), qui informe les lecteurs que l'attaque de la synagogue" a porté à 11 le nombre d'Israéliens - dont un bébé, un soldat et un officier de la police des frontières - - le mois dernier ".
Le Times ajoute aussitôt, que pour la même période, " les forces de sécurité israéliennes ont tué un citoyen palestinien d'Israël qui s'était approché de leur voiture avec un couteau déclenchant des jours d'émeutes; abattu deux chauffeurs qui avaient lancé leurs voitures sur des piétons à Jérusalem; et tué un suspect dans une tentative d'assassinat d'un agitateur pour la prière juive sur le site saint que les Juifs appellent le Mont du Temple et les musulmans, le Noble Sanctuaire ".
Le Times simplifie tout cela en une vingtaine de morts - 11 Israéliens tués contre 6 Palestiniens tués.
En d'autres termes, le Times aurait pour ses lecteurs mis en totale équivalence les virées offensives Palestiniennes engagées dans des tueries et les mesures défensives antiterroristes israéliennes.
L'adjectif "Horrible" pour le terrorisme palestinien est inexistant dans notre presse libérale.