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Malaassot - le blog de mordehai              -           ! ברוך הבא

Les 10 plaies de John Kerry

31 Janvier 2014 , Rédigé par mordeh'ai

John Kerry est la personne qui illustre le mieux le despotisme des Etats Unis d'Amérique.

Par: Tzvi Ben-Gedalyahu

 http://www.jewishpress.com/news/the-10-plagues-of-john-kerry/

Adaptation Mordeh-aï pour le blog malaassot.com

 

Le Secrétaire d'Etat américain John Kerry a frappé Israël de 10 plaies depuis qu'il a réssucité le funeste processus de paix en Juillet dernier.
 

Il a encore un dernier fléau de côté avant qu'il n'est usé toutes ses munitions, il accuse les Juifs et les Arabes de ne pas avoir fait la paix depuis 100 ans ou plus, puis retourne à la maison pour provoquer ailleurs dans le monde d'autres désagréments.

 

Le premier signe étonnant que le secrétaire ait offert n'était autre que celui de honorable John Kerry lui-même.

 

" Je t'assaillerai durant neuf mois jusqu' à ce que tu libéres mon peuple - heu les Arabes -de toute occupation," c'est ce qu'il a en effet annoncé. On pourrait penser qu'il a vécu dans une grotte coupé du monde pendant tout ce temps parce que les Arabes eux, ont été libérés de leurs occupants égyptiens et jordaniens en 1967, mais le Département d'Etat ne le sait pas, puisqu'il n'y a rien dans ses archives sur Israël entre 1948 et 1967.

 

Le Premier ministre Binyamin Netanyahou n'a pas tellement été impressionné par le premier miracle de Kerry et il se tourna vers ses hommes sages, qui sont venus avec ce messager étonnant d'Israël, Moshe Yaalon le ministre de la Défense. C'est l'homme qui se tenait aux principes, quands il y a eu une telle chose, alors qu'il était le chef d'état major de Tsahal dans le gouvernement de l'Expulsion d'Ariel Sharon. Il a payé le prix pour l'avoir snobé alors qu'il était habituel de prolonger automatiquement de la durée du mandat de chef d'état major, et Kerry le savait.

 

Donc, Kerry et son patron, le président Barack Obama, ont apporté leur futur miracle au blanchisseur de mensonges, connu aussi sous le nom de J Street et l'hôte des Juifs de salon qui pensent parce qu'ils vivent aux Etats Unis et sont juifs, ou appelés comme tel, savent comment gérer et défendre Israël mieux que les ignares qui vivent en Israël.

 

La Maison Blanche a fermé ses portes à l'AIPAC et aux rabbins qui croient en fait que la Torah a été donné par D.ieu aux Juifs et non assujetie à l'interprétation des psy ou des penseurs et qui l'ouvre à J Street, aux juifs et aux non-juifs qui se font appeler rabbis parce qu'ils ont été ordonné pour être des politiquement correct.

 

Ils sont devenus tout à coup la voix de la communauté juive Americana, qui a rejoint John Kerry pour fustiger le gouvernement d'Israël sur la façon de mener ses affaires et donner une leçon - que tous les foyers pour les Juifs en Judée et Samarie mettent en danger la sécurité nationale des États-Unis d'Amérique.

 

Mais le cœur de Netanyahu est resté juif et israélien et il a refusé de libérer le peuple d'Israël de la menace d'extinction.

 

Kerry a maugréé et a hurlé, "implantations" pour effrayer Jérusalem."Vous êtes illégitimes", a déclaré le président Obama aux colons. "Vous êtes des illégaux," les a grondé Kerry. " Vous êtes un obstacle à la paix."

 

Les colons ont répondu: «Nous sommes un obstacle à la guerre», et Kerry a continué par  la plaie du boycott.

 

" Si Israël n'est pas d'accord pour éxpulser tous les colons du cœur de l'Israël biblique où Jésus, le premier Palestinien est né, je vous infligerai le boycott. Je ne boirai pas tout ce qui viendra de SodaStream, même si Scarlett Johansson me tente. "

 

Israël a répondu que si Jésus, né juif, était un Palestinien, alors tous les Juifs en Israël sont Palestinien, et devraient également être en mesure de voter pour celui qui dirige l'Autorité palestinienne.

 

Sans avertissement, Kerry secoua son personnel - les sages du Département d'Etat - et a dit au peuple d'Israël que s'il n'était pas d'accord de vivre dans les ghettos de Tel-Aviv, il lui apporterait les réfugiés - 5 millions d'Arabes qui vont s'essaimer sur la terre d'Israël d' Eilat à Kiryat Shmona, et du Jourdain à la mer Méditerranée.

 

Kerry a averti  " Ils violeront vos enfants, assassineront vos fils, prendront vos femmes comme leurs deuxième et troisième épouses et vous accableront," .

 

Les Juifs lui rappellent qu'il y a des centaines de milliers de réfugiés juifs, ceux qui n'ont pas été tué dans des pogroms arabes, qui ont été expulsé de leurs maisons dans les pays arabes, laissant derrière eux des biens d'une valeur de centaines de millions de dollars.

 

Kerry a ensuite consulté ses devins et de retour en Israël de mettre la pression sur Netanyahu de la crainte du parti travailliste et rien d'autre que celle de Sa Grandeur le président Shimon Peres.

 

Le parti travailliste a déclaré qu'il entrerait au gouvernement de coalition afin de garder Netanyahu en place quand les prêtres du nationalisme prendraient congé en signe de protestation contre l'application par le gouvernement des fléaux de Kerry.

 

Lorsque Kerry a vu que le vocabulaire de Peres n'avait  seulement qu'un seul mot  - «paix» - et que le parti travailliste était coincé dans ses traditionnelles luttes intestines, en perte de popularité dans le même temps, il a mis en garde Netanyahu que s'il n'ouvrait pas les portes de l'esclavage au prix Nobel, l'Organisation des Nations Unies exulterait sa fureur sur Israël. Mahmoud Abbas gagnera la reconnaissance comme un pays palestinien basé sur la définition des frontières, sans négociations. Il aura une armée. Sa capitale sera sur le Mont du Temple. Les Juifs n'auront plus aucune chance.

 

Netanyahou a rappelé à Kerry que l'Organisation des Nations Unies avait également adopté une résolution pour mettre fin à la deuxième guerre du Liban en 2006, déclarant qu'aucun groupe étranger n'aurait des armes au Liban, où le Hezbollah serait exclu de la plupart du pays. Il a fait ressortir l'ancienne ritournelle diplomatique d'Abba Eban, " Oom Shmoom1," או"מ, שמום en hébreu "Shmoo-end de l'ONU."

 

Kerry a sorti sa huitième plaie, l'Iran. " Si vous ne faites pas ce que je dis, les États-Unis permettront à l'Iran d'enrichir de l'uranium à des fins pacifiques, qui à leurs yeux signifierait de faire régner la loi islamique sur le Moyen-Orient annihilant Israël.

 

Le cabinet israélien a discuté de la menace pendant 40 jours et 40 nuits et a répondu que si l'Iranbombardait Israël, l'ambassade américaine serait la première cible, suivie par le Département d'Etat à Washington.

 

Kerry a donc répliqué, par "l'Intifada!"

 

"Qu'est-ce que vous voulez les gars, une nouvelle intifada? C'est ce qui arrivera si vous ne laissez pas l'Autorité palestinienne vous détruire pacifiquement ", c'était l'essence du message de Kerry.

 

" Ils vous tireront dessus, ils lanceront des pierres et des bombes incendiaires sur vos voitures. Ils essayeront de se faire exploser parmi vous. "

 

A " Soit ici, fait ça," Israël a répondu. " Y a-t-il une autre plaie dans votre manche."

 

Le 10ème fléau attend Israël.

 

Kerry rassemblera toutes ses forces et toute la colère de l'enfer pour faire chuter Israël avec le redoutable "projet-CADRE" .

 

Thomas Friedman, du New York Times porte-parole officieux de l'administration Obama, a rapporté aujourd'hui que Kerry va déclencher l'ultime plaie - le cadre, appelant à "un retrait israélien progressif de la Cisjordanie (sur la base des lignes de 1967), avec des arrangements de sécurité sans précédent dans la vallée stratégique du Jourdain....

 

" Il fera appel pour les Palestiniens d'avoir une capitale à Jérusalem-Est arabe et demandera aux Palestiniens de reconnaître Israël comme l'Etat-nation du peuple juif. Il ne comprendra pas le droit au retour des réfugiés palestiniens en Israël même ".

 

Que la peste sera sur les deux maisons - l'Autorité palestinienne et Israël, et Abbas et Netanyahu, s'ils veulent rester en vie politiquement et autre, vont détruire la peste.

 

Et puis une voix se fit entendre en direction de John Kerry, lui disant: " Va-t'en de la Terre d'Israël. Laisse mon peuple tranquille et rentre dans ton pays. Il est déjà si affecté qu'ils ne s'apercevra même pas qu'il y a un autre fléau ".

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1-Premier ministre d'Israël, David Ben Gurion, est connu pour avoir rejeté l'ONU avec un péjoratif Oom Shmoom. OOM est l'hébreu abréviation pour l'Organisation des Nations Unies et shmoom est un moyen d'argot de dire il ne vaut rien ou rien.

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